Carré ZEN s’est engagé vers une une labellisation officielle, pour garantir professionnalisme et éthique.
Il y a plus de 20 ans, après ma formation originelle en esthétique, j'ai fait une formation en herboristerie. Depuis, j'utilise le pouvoir de la nature dans mes protocoles de soins et j'en ai fait ma spécialité, ma signature.
En 2020, pour l'institut, j’ai décidé de passer un cap supplémentaire en m'engageant dans le DD (Développement Durable), puis la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises). Je vous explique pourquoi dans cet article !
Le Grand Confinement m'a fait prendre un virage décisif
Depuis plusieurs années, j'ai pris le parti d’aborder ma consommation personnelle de façon plus responsable : en réfléchissant à notre impact (celui de ma famille) sur l’environnement (déchets, consommations, ...).
Mes amis, mes relations et la municipalité de ma ville ont réagi positivement à mon engagement. Et certains ont décidé de s'engager également. Quelle joie !
Puis la crise sanitaire est arrivée, bouleversant profondément mes/nos habitudes : fermeture pour confinement, puis reconfinements, classement essentiel/non-essentiels, couvre-feu, et j'en passe...
Pour rouvrir l'institut après le 1er confinement, les règles sanitaires spécifiques incitaient à miser prioritairement sur le plastique et le chimique, le "tout jetable" à usage unique.
J'ai repensé toute l'organisation de Carré ZEN, de l'accueil de la clientèle jusqu'à son départ de l'institut, afin que cette prise en charge soit la plus sécure et saine possible, tout en évitant de rajouter de la pollution à la pollution environnementale déjà dysfonctionnelle.
Dès lors, n'importe où (dans la ville, la nature), je vois de nouveaux déchets qui viennent se rajouter aux autres : gants, masques, lingettes... Que reste-t-il des utopies du Monde d'après ? Quelle tristesse, quelle colère !
Une mobilisation de tous les jours : un challenge
Vous le savez, dans mon métier, j'aborde l'hygiène au quotidien. Alors... Comment faire pour protéger mes client(e)s, mes salariées et moi-même, tout en protégeant la nature, et en apportant une vraie valeur ajoutée à l'institut ?
On ne va pas se mentir, repenser son lieu de travail pour le rendre écoresponsable, c’est accepter de reformater TOUT le fonctionnement. Pas seulement la prise en charge humaine directe, mais aussi tout le côté indirect.
Pour cela, je me suis rapprochée d'une organisation officielle (CNAIB-SPA) afin de participer au classement national, et d'être auditée sur les 94 critères (sociaux, économiques, organisationnels et environnementaux).
Et tout ce travail m'a permis d'obtenir en mai 2021 le label national "Institut Responsable pour une Beauté Durable", avec une cotation de 3 étoiles.
Être écoresponsable, c’est bon pour l’environnement, le corps et l'esprit.
Et ça tombe sous le sens d'appliquer ces valeurs à l'institut en proposant des soins personnalisés sur-mesure, des produits cosmétiques naturels (recyclables, rechargeables et zéro déchet), dans un espace green.
Alors, aller dans un institut écoresponsable, ça vous tente ?